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VOILA CE QUI ARRIVE LORSQUE L'ON SE TROMPE D'ADRESSE E-MAIL

Un couple de parisiens décide de partir en week-end à la plage et de
descendre au même hôtel qu'il y a 20 ans, lors de leur lune de miel. Mais,
au dernier moment, à cause d'un problème au travail, la femme ne peut pas
prendre son jeudi. Il est donc décidé que le mari prendrait l'avion le
jeudi, et sa femme le lendemain.

L'homme arrive comme prévu et après avoir loué la chambre d'hôtel, il se
rend compte que dans la chambre, il y a un ordinateur avec connexion à
Internet. Il décide alors d'envoyer un courrier à sa femme. Mais il se
trompe en écrivant l'adresse.

C'est ainsi qu'à Perpignan, une veuve qui vient de rentrer des funérailles
de son mari mort d'une crise cardiaque reçoit l'Email.

La veuve consulte sa boîte aux lettres électronique pour voir s'il n'y a
pas de messages de la famille ou des amis. C'est ainsi qu'à la lecture du
premier d'entre eux, elle s'évanouit. Son fils entre dans la chambre et
trouve sa mère allongée sur le sol, sans connaissance, au pied de
l'ordinateur.

Sur l'écran, on peut lire le message suivant:

'' A mon épouse bien-aimée, je suis bien arrivé.

Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles maintenant et
de cette manière. Ici, ils ont des ordinateurs et tu peux envoyer des
messages à ceux que tu aimes. Je viens d'arriver et j'ai vérifié que tout
était prêt pour ton arrivée, demain vendredi.

J'ai hâte de te revoir.

J'espère que ton voyage se passera aussi bien que s'est passé le mien.

P.S. : Il n'est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtements : il fait la chaleur d'enfer ici

 

 

la mort frappe à la porte

 

Lis-le ça fait réfléchir... 

Il était 4 h du matin Lorsque la mort frappa à la porte.

Qui est-ce ? S'écria l'homme hébété.

Je suis Izraël. Laisse-moi donc entrer!

Alors l'homme se mit à trembler,

Comme pris d'une fièvre subite.

Il cria à sa femme endormie :

Ne le laisse pas me prendre la vie !

S'il vous plaît, O Ange de la mort !

Laissez-moi, je ne suis pas encore prêt.

Ma famille vit à mes dépens,

De grâce, ton acte suspend .

Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa porte.

Ô mon ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé, Prépare-toi, pour la tombe, C'est pour maintenant.

Je te couvrirai d'or, Mais épargne-moi la tombe sombre.

Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon le vœu d'Allah ?

Viens, souris-moi et ne t'attriste point, Soit heureux de revenir vers Lui.

Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le temps de penser à Allah, Du matin au soir, je faisais ma richesse sans pensée pour ce moment.

Aux ordres d'Allah, je n'ai point obéi, Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n'ai prié.

Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan" passaient, Mais toujours sans mon repentir.

Le Hajj fut déjà Faraz sur moi,

Mais de mon argent, je ne voulus point me départir.

La charité, j'ignorais,

Mais l'usure et l'intérêt, je m'en accaparais.

Mes engagements, j'oubliais.

L’administration, je craignais,

De ma foi, j'avais honte.

Le blâme des mécréants m’effrayait.

La détresse de mes frères m’ennuyait.

Les artifices de ce monde m'attiraient.

Les mécréants, j'imitais,

Le champagne et le vin, j'appréciais.

Les femmes m'attiraient.

Malheur sur moi!

Ô ange, accorde-moi donc un sursis.

J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier de ta vie.

Ne sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque âme ?

Tu as vécu dans ce monde et tes parents tu as négligé, Tandis que le mendiant, affamé, tu repoussais.

Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits.

Tes fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi.

Au lieu de procréer des musulmans,

Tu as fait de tes enfants des mécréants.

Riches, mais si pauvres !

L'appel du muezzin, tu ignorais,

Tout comme le Coran t'est étranger.

Tes promesses ne furent jamais tenues,

Et ton arme favorite était la calomnie.

Tes employés, tu sous-payais,

Et le fruit de leur travail, tu récoltais, Jamais partagé avec le pauvre ou l'orphelin.

Les malades tu fuyais la compagnie.

Ô ange de la mort,

Je sais, j'ai honte

Que n'ai-je reçu de ta part,

Des signes, quelques avertissements,

De cette mort si imminente !

Âme misérable, le Créateur y a pourvu.

Point donc ne L'insulte, Il est parfait.

Mais à Ses signes tu restais sourd et aveugle.

Tes cheveux blancs t'annonçaient le retour...

Ta vue faiblissante t'annonçait le retour...

Ta force qui s'étiole t'annonçait le retour..

Ton échine recourbée t'annonçait le retour...

Voilà des avertissements suffisants,

Pour des gens qui réfléchissent !

Mais ta préoccupation se confinait à ce monde.

Puisque le Coran tu as ignoré,

Sache au moins alors, qu'il y était écrit Que ce monde n'est qu'un

éclair devant l'éternité.

Mais les avertissements du Coran, tu as dédaigné!

Cesse de pleurnicher, O humain!

Vers ton Créateur sera ton retour,

Car ton âme je la prends maintenant.

Le répit m'est interdit.

Un cri de l'homme et sur le sol il s'affaissa.

Son corps immobile, son visage éteint.

Il semblait se reposer, du sommeil éternel.

Son corps ne pouvait simplement plus exprimer La douleur alors toujours

intense de l'âme qu'on arrache La vie, des fois, peut réserver des

surprises, mais jamais la mort.

Car enfin, chacun sait bien, qu'il est né... pour un jour, mourir !

La puissance n'est pas innée : elle se construit.

 

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